05 Dec
05Dec

Fannie de Parents 21 et moi-même avons contacté un laboratoire d’analyses et de partages de données scientifiques, basé à Vannes. Leur éclairage tranche complètement avec le climat entretenu par le gouvernement et les médias grand public, lorsque ces derniers martèlent une reprise de l’épidémie à laquelle les « anti-vax », selon leurs termes, auraient leur part de responsabilité. On peut aussi s’étonner des nouvelles restrictions et des mesures se profilant pour bâillonner et vacciner les enfants à la lecture de ces données. Tous les signaux scientifiques confirment : 


  1. L’accélération des évolutions du SARS-CoV-2 sous pression de sélection https://covariants.org/per-country
  2. L’inefficacité de l’immunité induite par les injections sur les variants en circulation ;
  3. La toxicité car les liposomes ne restent pas dans le bras mais circulent dans le sang ;
  4. L’effet ADE quand une personne à l’immunité induite, trop étroite, non adaptable (car issue des injections) rencontrent un SASR-CoV-2 variant ;
  5. C’est pour cela que l’épidémie repart dans les pays ayant le plus vaccinés (cf. Gibraltar, Israël …).

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Les dernières évidences sur le front de la circulation du coronavirus SARS-CoV-2 mettent à rude épreuve la stratégie du "tout vaccinal" optée par nos décideurs, mais, nous offrent un scénario plausible de sortie de crise… …A condition de reconnaître que nous nous sommes peut-être collectivement trompés ; et il est encore temps. 


3 faits :



 I. La protéine SPIKE des variants delta et omicron, en circulation à date, a été modifiée (1)(2) ;

II. Les injections de mRNA codent une protéine SPIKE version WUHAN 2019 ;

III. Les anticorps neutralisants induits par ces injections ne peuvent se fixer pour neutraliser des zones (épitopes) qui sont modifiées sur le variant Delta. Il en est de même pour Omicron.


De ces 3 faits, il résulte qu'une troisième dose n'améliorera pas la neutralisation (c'est ce qui est démontré en Israël, à Gibraltar …).

Pire, une troisième dose induira un mécanisme de facilitation : 


IV. En effet, les épitopes facilitants (connus pour certains depuis 2016) ont été conservés par le variant Delta et, par négligence, les fabricants en ont conservé dans les formulations des vaccins mRNA PFIZER / MODERNA. (4)

V. Sur cette négligence, les services de l'Etat s'honoreraient à enquêter.

VI. L'analyse structurale réalisée par le Professeur FANTINI et son équipe ce week-end sur la protéine SPIKE du variant Omicron (3), établit clairement que "les profils mutationnels du NTD et du RBD suggèrent que les anticorps neutralisants auront une activité très faible sur ce variant." Ceci est encore accentué sur deux autres protéines du virus, "des mutations sont apparues dans des zones très conservées des protéines M et N dont 2 dans l'épitope B majeure de la protéine M qui n'avait subi aucune mutation en acides aminés jusque-là". Cet épitope, qui génère une réaction d'anticorps forte, est modifié sur Omicron.


A ce stade de la pandémie, "espérer", ou pire « croire en » l'efficacité d'une troisième dose n'est donc plus raisonnable. Le portage viral par des personnes vaccinées ne sera pas compris.

Enfin, le nombre croissant d’effets indésirables aujourd’hui observés dans les bases de données de pharmacovigilance (VAERS), ou sur nos terrains de sports ou de récréation, ne peuvent plus être relativisés, a fortiori parce qu’ils concernent des jeunes hommes (cas de myo-péricardites) ou des jeunes femmes (troubles du cycle, avortements).

Encore une fois, ces faits sont avérés, tout un chacun est à même d’en prendre connaissance désormais.


1. https://assets.researchsquare.com/files/rs-1054360/v1_covered.pdf?c=1636393878 

2. https://youtu.be/wBm1BKL4zlg 

3. https://www.linkedin.com/posts/jacques-fantini-a88626170_covid-omicron-spike-activity-6870781865503035392-Ct_n 

4. Immunodominant SARS Coronavirus Epitopes in Humans Elicited both Enhancing and Neutralizing Effects on Infection in Non-human Primates
https://pubs.acs.org/doi/pdf/10.1021/acsinfecdis.6b00006



Synthèse et conclusions : 


-Les mRNA PFIZER / MODERNA codent la protéine SPIKE dans sa version de Wuhan (2019) ; 

- Cette protéine contient une suite d’acides aminés (611-LYQDVNC-617) ; 

- Cette suite d’acides aminés était présente dans le virus du SARS (597-LYQDVNC-603 epitope) ; 

- En 2016, il a été démontré que cet épitope élicitait des anticorps facilitants et suscitait le phénomène dangereux d’Antibody Dependant Enhancement (ADE) (1)
« peptide S597−603 induced antibodies that enhanced infection both in vitro and in non-human primates » ; 

- Les auteurs recommandaient d’ôter cet épitope pour éviter le phénomène d’ADE (4) « Thus, peptide-based vaccines against SARS-CoV could be engineered to avoid ADE via elimination of the S597−603 epitope. We provide herein an alternative strategy to prepare a safe and effective vaccine for ADE of viral infection by identifying and eliminating epitope sequence-dependent enhancement of viral infection.” ; 

- Les séquences de mRNA PFIZER / MODERNA ont conservé cet épitope alors qu’il est connu depuis 2016 pour (I) éliciter des anticorps facilitants, (II) induire le phénomène dangereux d’ADE ;

- Nous pouvons en conclure que ces produits véhiculent un épitope délétère, connu depuis 2016

- Une action en responsabilité, fondée sur la défectuosité, dangerosité, du produit injecté, pourrait utiliser cet argument en justice. 

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